Festikap, un projet raté, Une opportunité à exploiter

 


Par  ANTOINE James, étudiant de la Faculté d’Ethnologie (FE)


Avant toute chose, festikap est une activité culturelle et sociale qui, est réalisé le jour des Aïeux, soit le 2 janvier depuis plus de dix (10) ans à la vallée de Jacmel. En plus de permettre à ceux qui le veulent de s’adonner au lancer de cerfs-volants, et dans cette même activité on prévoit toujours une partie culturelle avec de jeunes artistes de la communauté valléenne et ailleurs. D’une manière générale, cette activité y lieu sur un terrain. Ce terrain  est vaguement situé à morne Bouchereau qu'aura lieu FestiKap. Un véritable festival de couleurs d'après certains de ceux qui ont déjà participé aux précédentes éditions. Il y a deux phases déterminantes dans la réalisation de cet événement. Par ailleurs, encourager les gens à apporter des cerfs-volants, pour ceux-là qui en ont déjà, et ensuite l’exposition de cerfs-volants où les participants peuvent s'en procurer, s’ils le souhaitent. Durant ces trois (3) dernières années , nous pouvons constater clairement que l'activité prenne une autre direction pour ne pas dire il a failli à ses missions. Comme précision chaque année le vice-président de l’organisation des universitaires valléens pour le progrès (OUVAP) annonce toujours « Nous sommes mobilisés pour cette nouvelle édition afin de satisfaire les demandes du public. Ainsi, nous allons apporter plusieurs modifications. La première est liée à l’espace de stationnement que nous allons mieux aménager. Ensuite nous afficherons des messages incitant à la prudence sur la route de La Vallée afin d'éviter les accidents. L’amélioration de la sonorisation sera également prise en considération... Parce que nous voulons promouvoir la tradition, d’autres activités traditionnelles seront également proposées comme le troubadour ou encore les jeux de cartes. Ce sera certainement une ambiance culturelle agrémentée de plusieurs autres activités », précise Wilimix, qui plus loin a tenu à ajouter que la mairie de La Vallée les accompagne toujours dans la réalisation de ce festival. (Le nouvelliste, 2017). Dans perspective pour réaliser ce grand projet dans le département du sud-est, En quoi festikap  peut contribuer pour se servir un atour au développement culturel à la vallée? Dans quelle mesure pouvons-nous utiliser festikap comme moyen pour améliorer la situation socio-économique dans la commune ? Existe-il vraiment un lien entre festikap et tradition en absence de cerf-volant? D’abord, on va travailler sur l’historicité de festikap et festival comme tradition, puis  démontrer que  le projet de festikap est quasiment noyé. Ensuite, la façon dont nous pouvons exploiter cette activité pour contribuer au développement culturel et social à la vallée .en fin, porter une réflexion constructive sur l’avenir de l’activité. Sans aucune prétention d’être exhaustif, c’est à ces questions et à bien d’autres que nous allons tenter de répondre.


Festikap et tradition à la vallée.


Sans doute, l’idée de festikap est venue de plusieurs jeunes universitaires dans la commune après qu’on a observé la commune a besoin une activité pour se défouler. Sans perdre le temps on se rencontre pour parler. Voilà comment on a trouvé l’idée de faire cela, qui devient après festikap qui se fait chaque 2 janvier, le jour des aïeux à la vallée de Jacmel plus précisément sur une Morne qu'on norme bouchereau. En effet, cette activité se réunit plusieurs  centaines de  milliers de personnes qui viennent de différente région, elle  a placé comme seule activité socio-culturelle dans le département durant cette date. Depuis 2010, c’est un rendez-vous pour chaque valléen et vallénne se rassemble pour célébrer la fête et vivre la chaleur de la foule ensemble. Dès le début de 2014, certains membres commençaient à laisser tomber cette activité dans le but, qu'elle a failli à ses missions qu'était gardé en vie le jeu traditionnel qui est jeu de cartes, dominos, le lancement de cerfs-volants. La deuxième partie qui est le festival, pour faire un bref rappel sur le festival en soi .D’abord, c’est  une autre activité culturelle au-dedans du festikap. D’une manière générale, Le festival c'est une manifestation culturelle éphémère inscrite dans un calendrier le plus souvent annuel, s’est progressivement imposé comme un dispositif essentiel de médiation culturelle. Issu du domaine musical, c’est l'une des raisons il y avait plusieurs groupes musicaux dans cette activité. Malgré, l'idée c'était pour faire la promotion pour des groupes locaux depuis un certain temps Nu Style vs qui est un groupe rap qu'avait stoppé en pleine performance qui montrait une forme d'exclusion sociale dans cette activité. Pourtant, Le festival joue également un rôle moteur dans le processus d’une ambiance.

Sous cet angle, il y avait un  Signe de découragement dans le groupe et dans la vitalité artistique, les festivals étaient porteurs, en 2018, plusieurs groupes de la zone et les artistes très connus sur le plan national et international. Les artistes plus largement et  les professionnels de la culture, se sont approprié la forme festivalière. La typologie est diverses, sans exclusive : la construction d’un lieu éponyme dédié à un créateur ; les lieux et moments de productions de nouvelles créations ; les lieux de découvertes de nouveaux talents qu’on n'ait pas fait ; le moment de la reconnaissance médiatique et artistique raté ; les lieux où se structurent les mouvements et les offres qui scandent le marché de l’art et des œuvres qui déjà un manque pour l'activité ; les lieux de circulation des œuvres et des productions à l’échelle nationale et internationale pas son projet.

A cet effet, les festivals qui rencontrent un succès public croissant, ont contribué à la démocratisation de la culture. « Lieu de rencontres, pouvant susciter débats et forum, espace festif et de convivialité recherchée ou suscitée, la forme festivalière, souligne l’historien Philippe Poirrier, continue pourtant de prospérer alors même, que depuis les années 1970, l’individualisation des pratiques culturelles s’accentue, portée par les évolutions technologiques qui gouvernent les formes de la consommation culturelle ». L’histoire des pratiques festivalières, qui mobilise aujourd’hui de nombreux chercheurs en sciences sociales, saisie à l’échelle individuelle ou collective, reste indissociable, et étroitement articulée, à celle de la démocratisation des loisirs, du tourisme culturel et de l’accroissement des circulations et des mobilités. Enfin, il ne faut pas sous-estimer le goût de la fête, le souci qu'ont les gens de retrouver par tous les moyens des temps de convivialité dont ils sont privés le reste de l'année.

Un festival, c'est le retour de la fête au village, des veillées modernes. Mais, pour sauvegarder la traduction qui dans le langage courant, le mot tradition est parfois employé pour désigner un usage, voire une habitude, consacré par une pratique prolongée au sein d'un groupe social même restreint (par exemple une tradition familiale. Pourtant, le concept de tradition revêt un sens différent dans le mot traditionalisme, qui représente une volonté de retour à des valeurs traditionnelles, et non de transmission d'un héritage à travers l'évolution historique. Le traditionalisme est l'opposé du progressisme. Il ne s'agit donc pas d'une notion directement liée à la définition première de la tradition par exemple un jeu traditionnel normal comme sauté corde, jeu de billes pour les petits garçons et sauté corde pour les filles. Mais, le but même de festikap comme dit toujours le vice-président de l'OUVAP s’est gardé le lancement de cerfs-volants dans la communauté valléenne. Pour mieux comprendre la situation chaotique de cette activité durant les trois dernières années, cela nous permet de faire appel à une citation comme ‘’Ne pas déplorer, ne pas rire, ne pas détester, mais comprendre’’ (Baruch de Spinoza in Pierre Bourdieu, 1993).j’ai fini par comprendre que la nature prend des notes ,pour garder comment la mauvaise gestion peut finir avec une activité qui peut se servir comme une tradition pour la communauté. Malgré, les diasporas ont beaucoup contribués pour garder en vie cette activité qui, en voie de disparition selon plusieurs jeunes artistes, membres, et participants de festikap .Comme l’a si bien dit Milton ,FRIEDMAN( 1962) ‘’la majeur partie de l’énergie du travail politique ,économique et sociale est consacrée à corriger les effets de la mauvaise gestion du gouvernement ‘’une leçon qui peut nous aider à mieux gérer le future . Le Festikap comme moyen de défoulement de la majorité des jeunes dans le département du sud-est, parait complément critique par rapport à l'entente des fans de cette activité. Une telle aventure qui peut réunir des centaines de milliers de gens chaque année. Nous avons besoin des hommes et femmes scientifiques compétents pour mieux gérer festikap.


Un projet raté


D’ailleurs, pour comprendre un phénomène on doit avoir un œil scientifique. Autrement dit, il a mis en évidence l’approche, ’Si l’on veut comprendre un phénomène quelconque de manière scientifique, on ne peut en rester seulement au niveau des seules apparences. La science, précisément, consiste à aller au-delà des phénomènes visibles pour découvrir une réalité plus profonde qui n’est pas immédiatement évidente (Jacques Gouverneur, 2005)’’. Pour plusieurs jeunes artistes et intellectuels à la vallée ,le festival de festikap peut apporter de grand changement sur le plan culturel, parce qu’ il y a plusieurs groupes dans la zone ces groupes-là ,on peut faire une école de danse de grande envergure, il en est de même pour le cerfs-volants on peut organiser des ateliers pour fabriquer plus de cerfs-volants et beaucoup d'autres personnes vont participer non seulement aux ateliers mais aussi dans l’activité de festikap. Depuis 2012, une trentaine d'établissements culturels coopèrent pour aller à la rencontre des publics éloignés des institutions culturelles et ainsi lutter contre les discriminations dans le domaine de la culture. Pour toucher les publics fragilisés, les établissements de la mission « Vivre ensemble » ont choisi de travailler avec les personnes qui peuvent jouer un rôle de relais : bénévoles, travailleurs sociaux, éducateurs, animateurs, formateurs… grâce à la mutualisation des moyens, les membres de ce réseau proposent des séances gratuites de découverte, de sensibilisation, de formation, des médiations adaptées, des documents de préparation et d’aide à la visite et des adaptations tarifaires. Absence de volonté de travail en équipe rend que plusieurs membres fondateurs de festikap laissent tomber ce vaste mouvement, qu’était le rendez-vous de la jeunesse valéenne.

La preuve, s'il en était besoin, que nous ne sommes pas asservis à l'idéologie de la production au point de penser grâce à elle sans possibilités de retour, c'est que même dans les sociologies qui lui accordent une irrémédiable primauté, on éprouve le besoin d'affirmer sa présence et son inspiration et même de les justifier. Avouer ainsi un postulat, ou le promouvoir, c'est déjà de quelque manière prendre quelque distance entre les membres eux-même. Cette distance qui peut même s'exprimer sous la forme de l'humour, dont certaines pages de Marx donnent l'exemple salutaire et réconfortant  Stratégie minimale, mais qui marque une limite à partir de laquelle la culture peut être pensée autrement que sous le seul mode de la production. Nous avons besoin de tête pensante pour assurer l'avenir de développement culturel à la vallée de Jacmel. Soulignons, sur ce point, un paradoxe curieux et instructif  Marx (1867) ‘’ c'est au moment où la société se pense tout entière comme production, que la culture se dédouble, échappant par quelque côté à cette réduction. Ce n'est pas l'idée de production qui est niée, ni même sa valeur heuristique ; mais, en une conséquence extrême, par un renversement que la production elle-même provoque, est mis en lumière ce qui dans la culture n'est pas production’’ Entre autres, l'œuvre de Roger Bastide aura été exemplaire pour cette reconnaissance qui, chez lui, n'est pas le fruit d'une déduction de principe mais l'aboutissement de la recherche empirique et la valorisation des ressources traditionnelle.

 

En le lisant, écrit Duvignaud, on s'interroge : la culture n'est-elle pas un canton étriqué d'une expérience infiniment plus vaste, et probablement infinie, qu'on devrait appeler l'imaginaire social’’. Bastide affirme lui-même : « Nous sommes passés d'une sociologie qui accepte la réalité sociale en cherchant le déterminisme qui la justifie à une sociologie qui fait des institutions le fruit de la liberté créatrice des hommes ».il nous faut avoir un dialogue collectif pour faire revivre la vision première de festikap. De plus, les participants de festikap ont toujours un manque au niveau de satisfaction ,il y a un raté en ressources humaines sur le plan logistique  comme (sonorisation ,éclairage ,stage , décoration ) qui n'a jamais résolu.de plus ,pour démarrer la première partie , même les dirigeant sont des retardateurs, pas une date précise pour commencer ni pour terminer qui rend festikap est accéléré sur back depuis un certain temps.


Une opportunité à exploiter


Sur le plan socio-économique, Ces dernières années, la scène artistique et culturelle est plus insatisfaite que jamais déclaré par plusieurs membres au sein même des dirigeants. Elle connaît un foisonnement de festivals dont les organisateurs, pour la plupart d’entre eux, ont choisi de rester avec les bras croisés ou remettre sa démission qui rend chaque année on peut voir un nouveau projet et des nouveaux responsables .Le succès étaient plus ou moins au rendez-vous. Pour le festival de festikap qui a élu domicile à la vallée de Jacmel en début du mois de janvier dernier, ils étaient plusieurs dizaines de milliers de gens à se retrouver ladans, dans les différentes zones aux à l'entour de Morne bouchereau, pour suivre les concerts. Nous, la jeunesse estudiantine valleen (ne) demandons quel profit apporter ce grand festival Pour la vallée ? Pas une bonne place pour accueillir les participants, pas Vraiment un plan sécurité, pas débarrage pour éviter les accidents dans la Morne.il n'y a pas un hôpital qui peut même soigner 15 patients à la vallée, pas vraiment un encadrement pour les artistes locaux .On se demande existe-il vraiment une activité à la vallée qui met en valeur la vallée sur plan culturel et social voire sur plan économique.

C’est pour dire ,on a pas une politique d'exploitation pour rendre Festikap contribue dans le développement économique et sociale à la vallée ,si oui, c'est une politique comme à la coutume qui est une politique de petit groupe. Il faut mettre en place une stratégie de gestion pour apporter une couleur différente dans le mode d'organisation l'année prochaine à fin que nous puissions avoir plus de fonds pour intégrer plus d'artiste local et porter une nouvelle orientation à festikap pour éviter la confusion entre la satisfaction personnelle et sauvegarder une tradition. Nous voulons savoir, pourquoi on réduit le festikap en une activité rural, sans standard par contre nous avons plusieurs centaines de milliers de personnes qui même parfois cinq fois grand que certaine festival de la capitale même dans la ville de Jacmel. Dans un enquêté que nous avons mené on constate les pionniers de festikap sont exclus du comité, pas trop détaille sur les causes comme dit le proverbe haïtien (bwa pike nen, zye kouri dlo) pour comprendre l'approche de docteur Lesley François manigat sur la relation entre ces deux catégories de personnes Leslie Manigat (1998),’’ lui-même, qualifie ce modèle, préconisé par les masses rurales, de modèle autonome, en opposition au modèle dépendant, lui-même préconisé par la nouvelle oligarchie nationale urbaine, détentrice des pouvoirs politiques du pays. Pour ce deuxième modèle, explique l’auteur, le commerce extérieur et les contrats avec l’étranger engendrent le développement et la civilisation.

 C’est pour cela qu’il ne cesse d’exiger, tout au long de l’histoire de manière directe et/ou indirectement à travers les codes ruraux, les lois et les constitutions, aux petits paysans « de produire des denrées tropicales d’exportation à vendre sur le marché mondiale selon les prix fixés par les acheteurs ‘’. Ce qui les met en opposition catégorique à la classe paysanne, qui elle-même ne veut travailler autre que pour satisfaire ses besoins propres. Nous avons besoin un Festikap qui peut contribuer  fortement au développement culturel et artistique dans la commune, ce n’est  pas pour satisfaire leur besoin personnel d'un petit groupe. Mais, qui peut apporter une satisfaction collective .d'une façon ou d'une autre tout le monde sera fier de festikap comme une activité nationale pour aller dans le sens contraire d'une activité fermée, sectorielle, ou régionale. Pourquoi nous ne pouvons pas faire une place pour garer les voitures qui sont toujours placées sur toute la route de platon des pots ? C'est pour vous dire les ressources nécessaires sont là ,mais  nous ne pouvons les exploiter .si vraiment vous réservez une place pour les voitures, et, il y a plusieurs dizaines de milliers de voiture à 100goudes seulement que pensez-vous ?  C'est pour vous dire qu'il y a trop de ressources financières qui ne sont pas exploiter et les moyens sont là, dans la mesure où on fait une déconcentration au sein de la comité et avoir une autre forme de gestion de fonds. Il reste à examiner, Si on veut maintenir la tradition, on devrait encourager les gens dans la production de cerfs-volants et la date pour commencer est toujours exactement 2h pm quel profit qu'il aura apporté pour nous et la communauté en générale.

 

Conclusion

Festikap, dans son premier projet pour continuer de sauvegarder  la tradition dans la communauté a complètement changé d’idée depuis un certain temps. Du fait qu’il n’y a pas en quantité de cerfs-volants on peut l’appeler tout autre nom sauf festikap, de plus pas de l’encouragement pour leur faire non plus. Il devient une activité de clan, d’un petit groupe qui  mérite à faire un travail de colossal au sein du comité ou de faire appel à l’ancien  membre du comité. Grâce à la technologie tout le monde peut constater il y a une faiblesse au niveau de cette organisation. Pourquoi vous ne voulez pas faire appel aux anciens membres de l’organisation ou changer d’équipe totalement ? Au lieu de faire disparaitre une telle activité, la jeunesse valleenne voulait contribuer fortement d’une façon ou d’une autre pour faire festikap devenir un patrimoine culturel a la vallée de Jacmel. Toutefois, nous utilisons la bonne mémoire pour faire la gestion de fonds de festikap, nous pouvons construire un espace pour faire des ateliers de jeux traditionnel, le barrage de l’endroit qu’on fait toujours le festival, développer un conseil de sécurité permanente, une commuté  logistique bien ordonnée. De fait, festikap devient le premier de toutes les activités culturelles dans le département du sud’est. En  outre, on peut construire des maisons sur forme de motel pour accueillir  les gens qui ne peuvent pas aller chez eux, après le festival. Afin que, nous puissions obtenir de l’argent pour réaliser d’autres activités sociaux dans la commune, puis de créer une cellule pour bien gérer le terrain. C'est le cas de festi-mandarine à Botanica où l'on peut voir une quantité de plantes et de produits ainsi que le festi-bécane aux Cayes où l'on voit la mise en valeur du cyclisme..  aux cayes. C’est pour dire que les membres de l’OUVAP  n’encourage pas vraiment le cerf-volant dans la coummune.si on ne veut pas rater  la tradition ,on devrait encourager les gens de faire et de lancer le cerf-volant d’avantage pour garder en vie cette tradition.  Dans le cas contraire, le festikap finira par disparaître sous nos yeux.

 

 

 

 

 

 

Références bibliographiques:

- BARTHÉLÉMY, Gérard. 1989. Le pays en dehors : Essai sur l’univers haïtien. Port-au-Prince : Henri Deschamps.

- BORCHARDT, Julien. 1919. Karl Marx : Le capital. S.l. : Éditions populaires (résumé-extraits). Texte français établi par J.-P Samson.

- DELORME, Démesvar. [1873] 2003. Réflexions diverses sur Haïti : La misère au sein des richesses. Port-au-Prince. Éditions Fardin, « Collection du bicentenaire ».

- BOURDIEU, Pierre, dir. 1993. La misère du monde. Paris: Seuil, « Points ».                             

- GOUVERNEUR, Jacques. 2005. Les fondements de l’économie capitaliste : Introduction à l’analyse économique marxiste du capitalisme contemporain. Troisième et dernière édition, enrichie de supports pédagogiques.

Publié le 2017-12-13 | lenouvelliste.com


- MANIGAT, Leslie F. 16 mai 1998. « Comment Haïti, pionnière du cycle historique de l’abolition de l’esclavage et première à inaugurer l’ère de la décolonisation des peuples de couleur, a-t-elle pu chuter à ce niveau critique de sous-développement qui la fait situer aujourd’hui parmi les Pays les Moins Avancés du Globe (PMAs) ? ». Les Cahiers du CHUDAC.

- M. Walzer, « La critique communautarienne du libéralisme », dans A. Berten, P. Da Silva et H. Pourtois (dir.), Libéraux et communautariens, p. 311-313. 

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